Σάββατο 3 Μαρτίου 2012

Homère pourtant...

Homère était aveugle,
Et avait pourtant tout vu;
La Justice l'est aussi,
Mais à la cécité trouble...

*
Ton regard me hèle,
D'élucider,
Les pans irrésolus,
Des couleurs de l'esprit,
Et leur pénétration dans l'âme;
Pour découvrir,
Les sésames à prononcer,
Et les silences à ouïr,
Afin d'apprendre à s'aimer...
*
Homère interprétait,
Les gestes des devins,
Car il voyait du coeur,
Et du fond des entrailles,
Les tourments qui évoluent,
Comme des prémices de vents,
Caressant les Mers,
De nuages rosés,
A peine chatouillés,
Pour une pluie de Vie...
*
Flottement des âmes,
Sur le sang versé,
De tes veines fleuries,
Eternisées à Styx,
Et vulnérables à Eros...
*
Quelques idées sur tes lèvres,
Absorbant tout et plus,
Embrassant les errements,
De fulgurances impies,
De promesses éthérées,
Inexistantes peut être;
Imprimées, sûrement....!

Spyros Karageorgis

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